Beaucoup de gens dans le monde ont tous un jour ou l’autre connu l’échec, Albert Einstein, Nicolas tesla, Jacques Cartier, Christophe Colomb, Donald Trump, Barack Obama, Céline Dion, Ginette Renaud, Mère Teresa, P-K Subban, Alexandre Daigle, Steve Job, Mark Elliot Zuckerberg.

Plusieurs d’entre eux ont réussi à se relever, mais pourquoi ? La chance ! La facilité ! Ils sont allés d’échec en échec sans jamais perdre leur enthousiasme.  Ils n’ont jamais arrêté d’y croire!  La chance n’a rien avoir avec leur réussite ou le fait qu’ils se sont relevés.

Ces gens ont cru en eux, en leurs capacités d’y trouver réponse.  L’échec est inhérent à l’aventure humaine.  Ceux qui prétendent n’avoir jamais trébuché sont souvent des arrogants auxquels il manque une épreuve du réel et une certaine humanité.

Or cette expérience fondatrice peut nous rendre plus combatifs ou plus sages. Elle peut être une occasion de mieux entendre notre désir profond, de nous rendre disponibles pour de nouvelles voies, plus libres de nous tromper et de progresser. Il y a une corrélation entre les échecs dont on a su tirer les leçons et la réussite à long terme, sociale et humaine.

Lorsque l’on a connu des épreuves, on devient plus empathiques, on apprécie mieux son bonheur. Aux États-Unis ou en Scandinavie, l’échec est davantage valorisé. Il est signe d’audace, signe que l’on a commencé tôt à chercher sa propre voie plutôt que failli à se mettre sur les bons rails.

Notre tendance à culpabiliser à l’excès lorsque nous avons échoué est un héritage. Pourquoi ne pas voir l’échec comme un passage vers la réussite. L’échec ne doit pas provoquer un sentiment de défaite.

Ne pas confondre notre personne avec notre ratage, c’est l’occasion d’un apprentissage,  « rater encore, rater mieux ». Dire à notre relève que ce qui compte, ce n’est pas de s’installer dans le succès, mais de progresser dans sa quête.